Archive for novembre 15th, 2009

Mardi 29 : le jour où on a été en Egypte, à NY, à Paris et à Venise

N’oubliez pas de lire d’abord le jour 1, jour 2, jour 3, jour 4, jour 5, jour 6, jour 7 et 8, jour 9 et jour 10 de notre road-trip.

Le mardi, on avait décidé d’aller faire un tour sur le Strip, afin de voir les différents hôtels casino. Comme pour Disney, je vais vous mettre les photos en vignette en-dessous des descriptions. Si vous me haïssez, n’oubliez pas de me le signaler par mail grâce au formulaire de contact :-*

On a commencé par Luxor, l’hôtel-casino sur le thème de l’Egypte. L’hôtel est la reproduction exacte de la pyramide de Gizeh, aux mêmes dimensions, sauf que la pyramide de Vegas est toute en verre. L’intérieur est décoré de Sphinx, de temples sacrés et autres hiéroglyphes.

De l’extérieur de ce casino, on a pu apercevoir le Mandela Bay, qui a servi de décor pour les premières saisons de la série “Las Vegas”, pour le casino Montecito.

On est retournés sur le Strip à pieds en passant devant l’obélisque du Luxor et devant l’ignoble casino “Excalibur“, 100% kitch. On est passé devant l’extravagant New York-New York et sa skyline que traverse une montagne russe, et on a décidé d’entrer dans ce casino. A l’intérieur, j’ai été séduite par les petites rues façon Greenwich Village ou SoHo (du moins, comme je me les imagine, n’y ayant jamais mis les pieds), très réalistes, avec même des plaques d’égouts. En sortant, on est passé devant le pont de Brooklyn, beaucoup moins bien que le vrai :-)

On a continué notre balade sur le Strip en s’arrêtant au Bellagio. Ce casino est l’un des plus classes du Strip. L’entrée en met déjà plein les yeux. Des dizaines de fleurs de verre décorent le plafond chargé du hall, et derrière le comptoir de réservation se trouve un petit jardin décoré aux couleurs de saison. Un peu plus loin se trouve le jardin d’hiver sous sa verrière, magnifique. On n’est pas allé très loin, mais on imagine facilement que le reste du casino en jette autant.

On a ensuite fait une escale en France, au casino Paris-Las Vegas. Tour Eiffel, mongolfières, musée du Louvre, Arc de Triomphe, opéra Garnier, tous étaient présents dans ce casino. A l’intérieur, les rues façon Montmartre rajoutait du charme à un casino déjà très réaliste. Petit plus agréable : les indications étaient écrites en français. On peut également se heurter à un pied de la Tour Eiffel qui traverse le casino. Le ciel bleu au plafond et les lampadaires so frenchy nous transporte en France en un clin d’œil. Et lorsqu’on sort, on se trouve nez-à-nez avec un restaurant, français of course, à la devanture typiquement Béret-Et-Baguette.

D’hôtels en casino, on s’est retrouvés au Caesar’s Palace, un autre casino parmi les plus chic. Encore une fois, la déco à l’intérieur en jetait sérieusement, tout en plaqué or, façon Rome Antique. Un régale pour les yeux.

Nous sommes ensuite sortis de là pour aller manger un bout. Comme on était à Vegas, on s’est dit qu’on allait manger quelque chose d’original. Vous l’aurez compris, on est allés au Macdo… Puis on s’est installés en face du Mirage afin de voir l’éruption du Volcan. En face de ce casino se trouve en effet une jolie petite fontaine qui cache bien son jeu : fontaine innocente le jour, volcan rugissant la nuit ! Le show était sympa, je vous le conseille.

On s’est ensuite dirigés vers le casino Treasure Island, pour voir le spectacle avec des pirates. Malheureusement, il y avait trop de vent ce soir là, et c’est après plusieurs minutes d’attente qu’ils nous ont annoncé que le show avait été annulé.

Notre dernière destination a été le Venitian. On devait assister à un show du Blue Man Group le soir-même. Le Venitian est un autre casino magnifique, sur le thème de … Venise ! L’intérieur de la galerie commerciale, surtout, ma séduite : ils ont reproduit les canaux de Venise, avec les gondoles et les gondoliers, au milieu d’une rue de Venise et sous un joli ciel bleu. J’ai vraiment beaucoup aimé.

Le soir, on est donc allés voir un spectacle du Blue Man Group. Je ne connaissais que de nom, je n’avais aucune idée de ce qu’il faisait, à part se peindre le visage en bleu. On était très bien placé, au 4ème rang. Le spectacle a commencé, et on est partis pour 2 heures de pure folie ! A la base, je pensais que ça serait un concert. Mais en fait, même s’il y avait de la musique (très sympa d’ailleurs), c’était surtout un spectacle comique. Les 3 gus qui se tenaient en face de nous n’ont pas dit un seul mot pendant 2 heures, mais ils ont réussi à nous faire mourir de rire. J’en avais les larmes aux yeux. Le show était également visuellement magnifique. En bref, un excellent moment, un vrai plaisir. Je conseille ce spectacle a tout le monde. Sachez d’ailleurs qu’ils ne sont que 3 sur scène (sans compter les musiciens), mais qu’ils sont en fait une trentaine à se produire à divers endroits de la planète.

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Lundi 28 : le jour où on a bu du champagne au fond du Grand Canyon

N’oubliez pas de lire d’abord le jour 1, jour 2, jour 3, jour 4, jour 5, jour 6, jour 7 et 8 et jour 9 de notre road-trip.

Lundi matin, on s’est offert une grasse matinée. Mais comme j’étais toujours sur le fuseau horaire de NY et Orlando, je me suis réveillée à 6h30, et je suis restée dans mon lit jusqu’à 9h30.
Après un petit déjeuner au buffet de l’hôtel, on a glandé, on est descendu manger vers 13h30, et à 14h30 on était devant l’hôtel à attendre notre limousine. Oui oui, notre limousine.
Le chauffeur est arrivé, il nous a ouvert la porte, on a fait la connaissance d’un allemand et d’un américain, et on a frimé. On est arrivés à l’héliport, on a regardé une vidéo d’information, et on a fait la connaissance de notre pilote.

Quelques minutes plus tard, on décollait pour le Grand Canyon. On a rapidement quitté Las Vegas pour se retrouver… dans le désert. Vegas est vraiment une ville perdue au milieu de nulle part. Il y a bien quelques “villes” autour, mais elles font plutôt offices de quartiers résidentiels tellement elles sont petites et sans réelles infrastructures autres que les maisons. C’est assez impressionnant à voir. On a donc survolé ce désert pendant 35 minutes, en passant par le barrage Hoover, puis on a survolé le Grand Canyon. C’était magnifique. De là-haut, on pouvait voir les différentes couches de roches, on voyait la Colorado River tracer sa route au milieu de ces falaises.

Après quelques minutes à le survoler, notre hélico s’est posé au fond du canyon, et on a pu marcher au milieu de cette merveille. On se sentait assez petit, entourés de ces grandes falaises. Et comme on n’était pas tout à fait au fond du canyon, on pouvait également admirer la vue en bas, où coulait la rivière. Notre pilote nous a laissé baver quelques minutes en face de ces magnifiques paysages, puis nous a appelés pour notre picnic. On a ainsi pu découvrir, dans de mignons petits paniers en osier, un sandwich, une salade de pâtes, un cookie et un bonbon à la menthe, le tout arrosé de champagne. On n’avait pas très faim, ayant mangé avant de partir, et ni Clément ni moi n’avons bu de champagne, mais ça en jette quand même, non ?

On a eu quelques petites minutes en plus pour faire un milliard d’autres photos, puis il a fallu remonter dans l’hélico. Au retour, nous avons pris un chemin différent de l’aller, et on a donc pu observer un tout nouveau paysage. Enfin, ça ressemblait un peu à l’autre, puisque c’était désert, mais c’était plus joli. On a pas mal survolé le lac artificiel créé après la construction du barrage, et ma foi c’était bien joli. Durant tout le trajet, un audio guide en français nous expliquait des tas de trucs intéressants sur le Canyon, sur Las Vegas, sur le barage Hoover, sur le lac, sur les indiens, etc…

Puis nous avons survolé le Strip où nous avons pu voir notre hôtel, la Statosphère Tower et d’autres hôtels-casinos avant de retourner se poser à l’héliport. Une fois là-bas, Nathalie et moi avons un peu discuté avec notre chauffeur de limo qui nous a appris quelques petits trucs sur Las Vegas, puis nous sommes remontés en voiture. Cette fois-ci, on était 9 dans la limo. Mais comme une limousine c’est magique, on n’était même pas serrés.

Le soir, on est allés sur le Strip afin de le voir de nuit, mais également pour assister au spectacle de fontaines du Bellagio. On s’est arrêtés dans quelques boutiques au passage, puis on a assisté au spectacle. C’était court, mais très joli. Puis on est retournés à l’hôtel où notre lit douillet nous attendait.

Quelques photos en vrac :


Dimanche 27 : le jour où 4heures du mat’, c’était vraiment trop tôt.

N’oubliez pas de lire d’abord le jour 1, jour 2, jour 3, jour 4, jour 5, jour 6 et jour 7 et 8 de notre road-trip.

(Photo prise dans l’avion pour LV, où il y avait le Wifi. Cool !)

Dimanche matin, on s’est levés à 4heures du mat’ : on partait pour Las Vegas et on avait décidé de faire le check-in avec l’hôtel, comme ça on n’aurait pas à gérer nos valises jusqu’à l’aéroport et on n’aurait pas à attendre aux guichets de réservation. Mais pour ça, il fallait faire l’enregistrement 3 heures avant le départ. Urgh.

A 4h30, un mec est venu récupérer nos valises, on s’est trainés jusqu’à la réception, on a rempli les papiers, et j’ai découvert que mon cerveau n’était pas effectif à 4h30 du mat’, surtout quand je dois parler en anglais au téléphone avec un gars qui a un accent.

A 6heures, on est arrivés à l’aéroport, où j’ai commencé à écrire un article pour le blog sur l’iPhone de mon frère. Un supplice. A 8h25, on a décollé, et ni Clem, ni Nath, ni moi n’avait fait nos difficiles. L’avion n’était pas encore tout à fait en l’air que je dormais déjà.

On est arrivés à 10h05 à Las Vegas, heure locale (13h05, heure d’Orlando), et la première chose qu’on a vu en sortant de l’avion, c’est… une série de machines à sous. This is Vegas, baby. On a chopé un taxi, et $20 plus tard, on était à notre hôtel, le MGM Grand (le plus grand hôtel de Las Vegas en terme de nombre de chambres). Vers midi on a fait l’enregistrement pour nos 2 chambres. Clément et Nathalie m’ont en effet pris une suite à part (ils avaient la même), comme cadeau d’anniversaire en retard.

Nos chambre n’étant pas prêtes, on a laissé nos valises à la consigne, et on a fait un tour du casino. Les machines à sous, les tournois de poker, les tables de jeux, la verrière avec les lions, les lionceaux avec lesquels tu peux prendre une photo pour $25, le magasin Rain Forest sur le thème de la jungle, avec éléphants, crocodiles et autres arbres animés. Alors qu’on passait devant un bar, la musique s’est faite plus forte et les serveuses sont montées sur le comptoir pour danser. On s’est ensuite assis façon SDF dans le hall d’entrée, comme d’autres personnes attendant leurs chambres.

Vers 14h30, on a pu récupérer la chambre de Clem et Nathalie, et la mienne a été nettoyée peu de temps après. Nos chambres étaient super grandes, c’est d’ailleurs pour ça qu’elles ont le nom de “suite”. Il y avait un coin bar, un salon cosy séparé de la chambre à coucher par un meuble télé (dont le socle, à l’intérieur, pivotait pour pouvoir regarder la télé allongé sur son lit ou assis sur le canapé, selon notre humeur). Le lit était gigantesque, un king size, comme on dit. Moi qui dormait toute seule, je n’ai jamais atteint l’autre bout du lit. Je n’avais pas pris ma boussole pour trouver le côté gauche quand je me trouvais du côté droit, j’avais trop peur de me perdre pour partir à l’aventure ! Cette partie là du lit est donc restée un territoire inconnu. Mais je jurerais avoir entendu des cris et des bruits de tamtam venir de là-bas. Si si.
Quant à la salle de bain, elle était également grande, avec un bain à remous en angle, une douche plaqué or, des WC

Après avoir profité un peu de notre chambre chacun de notre côté (ce qui n’était pas du luxe : je les aime bien, mais on a quand même passé 24h/24 les uns avec les autres. Notre seul moment de solitude, c’était aux toilettes…), nous avons décidé avec Clem d’aller faire un tour à la piscine. On avait déjà perdu Nathalie depuis longtemps, terrassée par une espèce de grooos coup de froid qui l’a mis KO.

Quand je dis “la” piscine, je veux dire “les” piscines. Il y en avait en effet une demi-douzaine. On a fait le tour de l’ensemble, puis on a décidé d’essayer la piscine-rivière. C’est en fait une piscine pas très large, qui forme un genre de circuit aquatique, avec du courant dans l’eau (dans le sens où l’eau bougeait, hein, ils essayaient pas de nous électrocuter en mettant du 120 volts dans l’eau, ça va pas la tête ?!). Il faisait à peu près 50°c à l’ombre, et on avait encore en tête l’eau chaude des piscines floridiennes, donc c’est plein d’entrain qu’on a sauté dans l’eau… glacée. Choc thermique. En fait, on aurait dû s’en douter : l’eau bouge tout le temps, et il y a plusieurs endroits à l’ombre. Pas facile donc de chauffer tout ça à la force du soleil. La deuxième raison, c’est les glaçons qui trainent au fond de l’eau. Littéralement. D’où viennent ces glaçons, me demanderez-vous ? Bah des verres d’alcool que des dizaines de jeunes s’enfilent alors qu’ils font trempette, en écoutant de la musique à fond les ballons, en se faisant servir par des serveuses en maillot. Et ces jeunes tout mignons vident le fond de leur verre dans l’eau, quand ils ont fini. Je ne vous ment pas, j’ai buté dans ces glaçons à un moment. Et l’eau de cette piscine a la particularité de plus sentir la téquila, le whisky et d’autres alcool que le chlore. Un nouveau genre de traitement de l’eau ? Bref, on a fait le parcours afin de retourner à nos serviettes, les dents claquantes, les jambes grelottantes, les bras frissonnants. Puis on est allés dans une autre piscine, rectangulaire, sans courant, et chaude ! On a retrouvés les 27°c de l’eau des piscines floridiennes, et ça a fait du bien. On n’est malgré tout pas restés longtemps, juste histoire de se détendre un peu.

En rentrant, on s’est pelé les miches dans les couloirs de l’hôtel-casino, vraiment sur-climatisés. Je ne comprends pas comment d’autres peuvent se balader en bikini… On est retournés chacun dans notre chambre jusqu’à 20 heures, où Clément est venu me chercher pour qu’on aille manger. Nathalie, elle, était toujours dans le coma. Epuisés et n’ayant pas franchement faim, on s’est fait un Macdo assez light, qu’on a mangé dans ma chambre, devant Independance Day. Clément a expédié son repas en 2 secondes et demies, et il est parti se coucher. J’ai continué à regarder Independance Day, dans mon lit, et j’ai fini par m’endormir peu de temps avant la fin.

Quelques photos en vrac :

Vendredi 25 et samedi 26 : résumé de nos journées à DisneyWorld

/!\ ATTENTION /!\
Cette note est un crime contre les connexions lentes. Il y a environ un milliard de photos en vignettes à télécharger. Je m’en excuse, mais en fait, si vous avez une connexion lente, je ne peux que vous suggérer de ne plus vivre dans la Creuse et de déménager, direction la Drôme Provençale, par exemple. En même temps, si vous vivez dans la Creuse, je ne vois pas vraiment pourquoi vous lisez ce blog… :-)

N’oubliez pas de lire d’abord le jour 1, jour 2, jour 3, jour 4, jour 5 et jour 6 de notre road-trip.

Comme nos journées n’ont pas été palpitantes, je vais me contenter de vous parler des attractions qu’on a fait, pour que vous vous fassiez une idée. D’ailleurs, je vais changer un peu les habitudes de ce blog, et mettre les photos en vignettes après chaque descriptif d’attraction, quand j’ai des photos.

Entre plusieurs parcs on a fait des escales par l’hôtel, où on s’offrait quelques minutes à la piscine. Notre hôtel possédait plusieurs piscines : des petites pour chaque bâtiment, et une grande piscine sur le thème des caraïbes (notre hôtel s’appelant le Carribean Beach Resort, ça n’a rien d’étonnant). L’eau y était très chaude : 82°F (28°c). Ça faisait du bien aux jambes puisqu’on était soudain tout légers, mais ça ne nous rafraichissais pas tellement. C’était quand même très appréciable et on y est retournés plusieurs fois. On est également allés à la piscine en bas de notre bâtiment en rentrant un soir.

Le dernier soir, on s’est pris un orage sur la tronche, un bon gros truc. C’était entre Stitch et Monster Inc. Comme Nathalie pétait pas la forme à cause d’un rhume qu’elle couvait, on lui a acheté un poncho, mais à $7, ça nous faisait un peu mal d’en acheter 3. Après Monster Inc., on a décidé avec Clem que courir ne nous mouillerais pas moins, donc on a marché. On est arrivés aux espaces bus trempés jusqu’aux os, l’eau avait envahi les trottoirs, et il y avait un monde de fou qui attendait pour le même bus que nous. Quand on s’est enfin fait une place dans un bus, ils n’avaient pas coupé la clim. Le chemin ne m’a jamais paru aussi long, on avait tous super froid. On a zappé la piscine ce soir là.

A Magic Kingdom :

J’ai déjà parlé de Big Thunder Mountain, de Splash Mountain et de la Maison Hantée dans l’article précédent. Je vais juste rajouter des photos de Big Thunder Mountain, prises le lendemain.

(on a eu un peu chaud, comme vous pouvez le voir)

Jungle Cruise : A bord d’un bateau avec guide super drôle inclus, vous parcourez diverses jungles, avec éléphants, crocodiles et tribus à la clé. Le tour en lui même n’est pas des plus passionnants, mais les guides ont l’air d’être choisis sur le volet. Celui que nous avons eu été très drôle, on a passé un bon moment.

Pirates des Caraïbes : on attendait beaucoup de cette attraction, parce qu’ils y ont récemment incorporé des éléments du film. L’attraction a inspiré le film, qui a ensuite inspiré l’attraction. Eh bah on a été assez déçus. C’est globalement comme à Paris, si ce n’est que la musique que j’aime tant n’arrive qu’à la fin de l’attraction, puisque les automates parlent pendant la balade. Quant aux allusions au film, il n’y en a que quelques unes, on voit un automate ou deux de Jack Sparrow, c’est pas franchement top. Et toute l’ambiance de la file d’attente qu’on adore à Paris est totalement absente ici. Déception en somme.

It’s a Small World : Tout pareil qu’à Paris, peut-être un chouilla plus long. Pas grand chose à en dire.

Winnie l’ourson : on n’a pas cette attraction en France, mais c’est exactement comme Blanche-Neige, Peter Pan et autres Pinocchio. Clément avait très envie de le faire, donc on y est tous allés. C’était sympa, joli, mais ça reste une attraction pour enfants. A faire si vous avez du temps.

Stitch’s Great Escape : vous êtes les nouvelles recrues d’une mission spatiale dont le but est de capturer de monstrueuses créatures comme Stitch ou Roudoudou. Vous vous asseyez dans votre vaisseau spatiale, et vous recevez la visite de Stitch, très en forme, qui décide de mettre le dawa. Panique dans le vaisseau. C’est bien marrant, faut l’avouer, mais c’est à faire une seule fois : l’intérêt de l’attraction, c’est qu’on ne sait pas ce qu’il va se passer, du coup on panique pour rien, on crie alors qu’il se passe que dalle, on réagit comme des fillettes quand il se passe un tout petit truc.

Monster Inc : mon attraction préférée à Magic Kingdom. La Monster Incorporation a découvert que le rire était une source d’énergie plus puissante que les cris. De monstres terrifiants ils sont passés aux monstres hilarants. Leur but est donc de nous faire rire jusqu’aux larmes. Et ça marche. On entre dans une salle de spectacle où on est accueillis par Mike, le monstre vert. Et là, il nous a fallu plusieurs minutes avant de réaliser que c’était du direct. ça a commencé quand un monstre à deux têtes a déclaré “Le monsieur avec le S sur le T-Shirt là, il doit s’appeler Sam ou Simon”, et la caméra s’est mise sur un mec avec un T-shirt “Superman”. Hasard ? Peut-être. Mais quand ils parlent d’un autre monstre à deux têtes et que la caméra s’est mise sur une femme qui tenait sa fille sur les genoux, on a commencé à se dire qu’il y avait anguille sous roche. Quand ils ont passé le micro à cette petite fille et que les monstres à l’écran répondaient à ce qu’elle disait, on a finit par comprendre que c’était du direct live. Ce qui en a fait le spectacle encore plus vrai. Le principe est le même que pour “Bill” dans “Le Big Dil” : un gars avec probablement une combi spéciale fait bouger les monstres et fait les voix. Là, ils étaient au moins deux d’ailleurs. Et ils avaient un sens de la répartie tout simplement génial. J’ai d’ailleurs été choisie par la caméra à un moment, il fallait que je pense à un numéro entre 1 et 10, et que je le dise à voix haute au public, pendant que le monstre se cachait les yeux pour ne pas entendre ce que je disais. Trop fort comme tour de magie :-) Durant tout le show, j’ai eu les larmes aux yeux à force de rire. Un super moment et une attraction que je recommande grandement !

A Hollywood Studios :

The Tower of Terror : c’est pareil qu’à Paris, mais en différent. Une fois dans l’ascenseur, au lieu de chuter directement après le petit pré-show, ils nous font avancer dans l’hôtel, où on voit des fantôme sur le côté, avec cette musique angoissante. Il fait très sombre. Puis des portes s’ouvrent, on avance dans l’obscurité totale, et à un moment, “pouf”, on n’est plus là. De plus, les chutes sont aléatoires, et c’est le côté un peu décevant de l’attraction comparé à celle de Paris. A Paris, quoi qu’il arrive, on a peur, on a les trippes à l’envers. Là, ça dépend. On a fait la Tour plusieurs fois, et on a eu qu’un seul tour vraiment bien, avec de bons “air time”. Les autres étaient un peu trop faibles à notre goût. Donc c’est à la fois bien, et à la fois pas bien : à chaque fois on a la surprise, on ne sait pas quand on va chuter et quand on va remonter, on ne sait pas combien de temps durera la chute, mais en même temps, on peut parfois être déçus par le tour. Ceci dit, l’attraction reste très bien. Petit bonus : comme c’est moins nouveau qu’à Paris, il y a aussi moins de monde. On a pris plusieurs fois des Fast-Pass, mais ce n’était pas vraiment utile. Je ne crois pas que la file d’attente ai dépassé les 20 minutes (contre au moins 40 minutes à Paris)

Star Tour : il semblerait qu’ils lui ai donné un coup de jeune : le film est le même qu’à Paris, ils ne l’ont pas changé depuis la création de l’attraction, mais les secousses sont plus violentes, on s’ennuie un peu moins. Malgré tout, l’attraction star de Disney au lancement des parcs a perdu de sa valeur, et ça se ressent sur les files d’attentes vides.

Great Movie Ride : une ballade en bateau au milieu des plus grands succès du cinéma. Un guide nous donne quelques anecdotes sur les films, qui sont mis en scène avec des statues de cire animées ainsi que des extraits de dialogues. Bien, mais sans plus.

Toy Story : Clément a insisté pour qu’on fasse celui-ci, malgré la file d’attente qui ne baissait jamais. On y est donc allés à la première heure d’ouverture du Studio, en “early hours” en plus (quand le parc ouvre une heure plus tôt pour les clients des hôtels du parc), et pourtant beaucoup de personnes faisaient déjà la queue en dehors de la file d’attente. On y est quand même allés, et on n’a pas regretté. Le temps d’attente n’était finalement pas si long, et de toute manière la file d’attente est tellement belle qu’on est trop occupés à prendre des photos et à chercher tous les détails pour voir le temps passer. En effet, le décor de la file d’attente est fait à base de jouets géants, de dessins d’enfants, d’un énorme Monsieur Patate qui parle. Quant à l’attraction, c’est un peu le même principe que “Buzz l’Eclair” : on est dans une voiture de 4, les deux banquettes dos à dos. On se balade dans l’univers de Toy Story, en s’arrêtant par endroit pour faire des petits jeux de tirs. En face de nous, on a un espèce de pistolet qui fonctionne en tirant à répétition sur une corde. Selon les jeux, on tire de l’eau, des balles, des flèches, etc… Le but est de marquer le plus de points. C’est bien sympa, beaucoup mieux que Buzz l’Eclair, puisque c’est beaucoup plus précis. En plus, c’est en 3D, ce qui donne encore un petit bonus à l’attraction. N’hésitez donc pas à la faire, même s’il y a de l’attente, quitte à prendre un Fast Pass assez tôt, puisqu’ils ont tendance à disparaitre assez vite.

A Epcot :


Nemo and Friends : Une balade dans un coquillage au milieu d’aquariums où se côtoient de vrais poissons, raies, requins… ainsi que les personnages de Némo animés. Le tout donnant un résultat très réaliste, magnifique et reposant.

Test Track : vous incarnez un mannequin de test crash. A bord de votre voiture, vous subissez donc différents test : conduite sur pavés, résistance au froid puis à la chaleur, test des freins avec et sans l’ABS, et test de tenue de route à grande vitesse. Si le début peut sembler un peu longuet, le test de vitesse nous colle au fauteuil, c’est plutôt cool.

A Animal Kingdom :


On a failli ne pas aller dans ce parc, et on l’aurait regretté. Le vendredi soir, il était ouvert en extra hours pour ceux qui restaient aux hôtels du parc. Donc de 18heures à 21 heures je crois, il n’y avait quasiment personne dans le parc, ce qui fait qu’on a pu essayer la plupart des attractions sans faire la queue.

It’s Tough to be a bug : une attraction sur le thème de “1001 Pattes”. Il s’agit d’un spectacle en 4D, présenté par Tilt, sur la difficulté d’être un insecte. On s’est bien marré.

Kali River Rapids : à bord d’une bouée géante où peuvent rentrer une dizaine de personnes, on traverse des rapides qui… mouillent. Ils le disent bien à l’entrée de l’attraction d’ailleurs : “You WILL get wet. You MAY get soaked” (”Vous SEREZ mouillés. Vous POUVEZ être trempés”). Et bah ça n’a pas loupé… On est ressortis de là trempés jusqu’aux os, nos chaussures faisant “splotch splotch”, nos pantalons collant à nos jambes. Une attraction sympa à faire quand il faut chaud (360 jours dans l’année en Floride :-D)

  

Expedition Everest : une montagne russe qui envoie du pâté. On embarque à bord d’un train express pour le sommet de l’Everest, à la recherche du Yeti. Le Yeti, on l’a bien trouvé, mais il a eu le temps de mettre un sacré souk sur la voie ferrée. L’attraction est super parce qu’il y a des marches avant ET des marches arrières, et ça décoiffe. On l’a d’ailleurs faite deux fois. Je vous la conseille chaudement.

Dinosaures : Cette fois-ci, on se balade au temps des dinosaures à bord de notre voiture de safari, envoyés dans le passé par un jeune scientifique un peu tordu qui veut qu’on lui ramène un diplodocus. On s’est pris une belle pétoche à un moment dans l’attraction, pile au moment de la photo, quand un T-Rex a surgi de nulle part. La photo nous a tellement fait rire qu’on l’a acheté, et on a eu une gratuite.


Des photos en vrac que je ne pouvais mettre nulle part et qui ne sont pas vraiment indispensables mais je veux les mettre quand même :


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