Archive for avril 16th, 2009

Mardi 7 Avril : si je dois monter plus de marches, je meurs

Je viens de me faire gronder par messagerie Facebook par Darkmaxou (allez donc inonder ses commentaires de messages haineux, elle qui a osé gronder votre chère Moi !!) qui me disait que mon compte fesse-bouc n’était pas accessible à tout le monde en fait. J’ai rectifié la situation, je venais en fait de changer de réseau régional pour passer à celui de Pittsburgh, et mon compte n’était alors accessible qu’à mes amis et ceux de mon réseau. Je suis retournée sur le réseau France, et par la même occasion j’ai modifié mes paramètres de confidentialité, maintenant LE MONDE ENTIER peut accéder à mes photos et m’en vouloir pour Hawaii. Et n’allez pas vraiment déposer des commentaires haineux chez Darkmaxou, je rigolais, of course. En revanche, vous avez le droit d’aller lire ses aventures, c’est sympa. Allez, on continu avec Hawaii !

(Oui, je suis victorieuse sur cette photo ^^ )

Mardi matin, je devais me lever de bonne heure pour aller à Diamond Head. C’est-à-dire à 6heures ! J’avais probablement perdu la raison quand j’ai décidé ça, parce que 6heures, quand on n’a plus le Jet-lag dans les pattes, c’est de la torture. Le réveil a bien sonné, et moi je l’ai reporté à 7h30. Petit-déj express, puis direction l’arrêt de bus vers 8heures. Comme je ne sais pas exactement où m’arrêter, je demande de l’aide à la conductrice, qui me dit qu’elle me fera signe quand ça sera le bon arrêt. En fait, même sans elle j’aurais pu m’en sortir, vu qu’il y a un énorme panneau juste en face de l’arrêt de bus, signalant l’entrée pour Diamond Head.

L’entrée du sentier de marche n’est pas directement au niveau de l’arrêt de bus. Il faut d’abord longer une route qui monte jusqu’à l’entrée du cratère, passer un tunnel où il ne fait pas vraiment bon d’être piéton, puis passer le gate de sécurité où on paye $1 pour entrer. Et c’est là que le plus dur commence.

J’avais vu à l’entrée une affiche disant que la marche jusqu’à sommet faisait environ 0.8 miles, ce qui doit faire 2km, et qu’il fallait compter entre 30 et 40 minutes pour la faire. Je me suis dit « facile !! ». Et j’ai vite déchanté. Je ne suis pas franchement une sportive dans l’âme, comme chacun le sait. Du coup, à certains moments du sentier, j’ai sué comme un porc et respiré comme un bœuf. Je m’arrêtais si et , prétendant devoir prendre des photos. Bon, ceci dit, le paysage était vraiment joli hein. Mais le plus dur a été lorsque les marches ont fait leur apparition. Une première rangée de marches a fait son apparition juste après un premier ponton d’observation. Je m’étais arrêtée à ce ponton pour prendre une photo sur laquelle on voit, quand même, que j’étais au bord de l’insuffisance cardiaque.

Ensuite, il a donc fallu monter la première tournée d’escaliers. Sur la photo, il me semblait compter entre 20 et 30 marches. Wikipedia m’affirme qu’il y en a 74. Soit. Ceci explique cela.

Donc on monte ces premières marches, et on arrive dans un tunnel. A l’intérieur, il fait plutôt sombre et c’est légèrement en montée. Rien d’insurmontable ceci dit. On arrive au bout du tunnel plutôt étroit en se disant qu’on est au sommet. Mais on se plante totalement :-)

Une fois arrivés là, le pire est à venir. Si si. Vous avez deux possibilités : sur la gauche, vous avez un deuxième point d’observation, vous ne voyez qu’à l’est du Volcan, où y’a pas grand-chose. C’est plat, pas l’ombre d’un escalier, vous avez même un ou deux bancs pour vous asseoir. Et à droite, vous avez une vision d’horreur : 12 millions de marches (mouhaha, je viens de réaliser que la mise au point a été faite sur le gars sur cette photo. N’y voyait pas là la déclaration enflammée d’un amour inconditionnel pour cet inconnu. J’avais juste les batteries trop à plat pour bien réfléchir…). Wikipédia me souffle à l’oreille qu’il n’y en a « que » 90, mais vous savez ce que je lui dis, moi, à Wikipédia ?

En plus, comme les Hawaiiens sont vicieux, ils ont fait un escalier trèèèèès étroit. On est obligé de pivoter lorsqu’on croise quelqu’un, mais surtout, surtout, on ne peut pas s’arrêter, sous peine de gêner tout le monde. Il faut donc garder un rythme soutenu, parce qu’il y en a, même en vacances, ils sont très impatients

J’aime autant vous dire qu’en arrivant là-haut, mes genoux étaient sur le point de me lâcher et j’étais pas loin de demander un rapatriement en hélico…

Là, encore une fois, vous vous dites que c’est la fin. Et encore une fois, vous vous plantez totalement ! Au détour d’un virage, horreur ! Malheur ! Des escaliers en colimaçon… Bon, il n’y a là que 30 marches, et on peut s’arrêter à chaque palier, environ toutes les 10 marches. Mais quand même !

Arrivée là haut, je découvre un genre de petit bunker à chasseurs. Y’a un mec à une table qui propose, pour $2, de mettre ton nom sur un diplôme certifiant que tu es arrivée au sommet. Ça me conforte dans l’idée que je suis pas la seule à en avoir baver.

Pour sortir du « bunker », il faut passer par un endroit où le plafond est très bas et te met dans une position relativement ridicule.

Puis c’est la Terre Promise, enfin ! Ceci dit, si tu veux avoir un bon point de vue, tu dois encore monter quelques marches, mais ça vaut le coup. Au sommet, on domine complètement Waikiki et l’océan pacifique. L’eau, magnifique, te donne envie de sauter direct de là où tu es (attention les enfants, ne le faite surtout pas ! Avant la mer, il y a des rochers, et quelques centaines de mètres à parcourir à vol d’oiseau. Vous n’êtes pas des oiseaux), et tu te rends malheureusement compte également que oui, Waikiki est une ville tout aussi américaine que les autres, avec des buildings à foison

Je suis restée là haut un petit quart d’heure, puis il a fallu redescendre. Et là je me suis bien marrée, à rencontrer tous ceux qui montaient. Sadique, je leur annonçais parfois que le pire était à venir.

Je suis arrivée à l’arrêt de bus aux alentours de 10heures. Si vous comptez bien, vous vous rendrez donc compte que 2 heures se seront écoulées entre le moment où j’ai attendu le bus près de l’hostel, et le moment où je suis arrivée à l’autre arrêt de bus après l’ascension. J’ai attendu le bus assez longtemps, 30 ou 40 minutes, durant lesquelles j’ai discuté avec une famille indienne. On avait pris le même bus pour venir, et on s’était mutuellement reconnu. Ils étaient vraiment très gentils et intéressants :-) Dans le bus, sans savoir comment, j’ai fait un sacré retour dans le temps.

Je suis arrivée près de l’auberge vers 11heures. Une navette devait venir me chercher vers 12h30 pour aller au Polynesian Cultural Center. J’avais donc décidé d’aller m’acheter un sandwich au magasin ABC, puis de retourner à l’hostel histoire de commencer à mettre mon blog à jour (mouhahaha). Mais sur le chemin, je me suis dit que puisque j’avais le temps je pourrais aller faire un coucou à mes parents depuis la caméra en face de la statue de Duke. La qualité n’est pas géniale, mais au moins c’est la preuve que j’étais à Hawaii !

Puis tant que j’étais de sortie, j’en ai profité pour aller finir mes achats de souvenirs.

Je continu dans un autre article avec le récit de mon après-midi et ma soirée au Polynesian Cultural Center.

Des photos en vrac :

Oh, et si j’ai donné l’impression que Diamond Head était une torture, c’est pas totalement vrai. Je ne suis pas sportive pour un sou. Mais j’ai vu une femme monter et redescendre TOTALEMENT le volcan au moins 3 fois en courant, donc c’est que c’est largement surmontable, quand on a la condition physique qui va avec :-)

Lundi 6 Avril : Welcome to Turtle Town !

Allez, je suis enfin motivée, je met mon blog à jour. Ceci dit, la plupart d’entre vous ont déjà eu un aperçu de mon séjour grâce aux photos que j’ai mis sur Facebook. By the way, mon profil est accessible pour tout le monde, ce qui me permet de ne pas avoir à accepter 12 000 demandes d’amis par des gens que je ne connais pas vraiment. N’hésitez donc pas à y jeter un œil de temps en temps, à condition de le récupérer après (votre œil…). Vous me trouverez à priori sous le nom Marion Prévot, mais vous pouvez toujours essayer Merlin L’Enchanteur ou Casimir, on sait jamais, des fois que j’y sois…

Lundi matin, j’étais attendue en face du Royal Kuhio Condos, à 2 minutes de mon hostel, par la navette qui devait m’emmener à Ko`Olina pour le snorkeling (plongée avec masque et tuba) avec les dauphins/les tortues/les poissons.

La navette est venue à 9h et quelques, et je suis arrivée à la marina du Ko`Olina Resort vers 10h30 ou 11h. Sur la carte, le trajet ne semblait pas aussi long, et c’est là toute l’astuce sur Oahu : les trajets semblent courts mais ne le sont absolument pas !

Le chauffeur nous dépose à côté du port, devant une supérette sur la fenêtre de laquelle je vois une affiche : location d’appareil photo numérique waterproof. Je me renseigne sur les prix : $40 pour 500 photos de bonne qualité, avec en plus l’option vidéo. En commandant l’activité sur internet, j’avais acheté l’option « garantie de voir des dauphins et/ou des baleines » pour $10 supplémentaires. Cette option comprenait également la location d’une veste de plongée ainsi qu’un appareil photo waterproof. Après vérification auprès des organisateurs, l’appareil photo n’est pas numérique et ne peut faire que 27 photos. Du coup, je n’hésite pas, et je file louer une caméra numérique. Certains diront que c’était superflu et que j’ai jeté mon argent par la fenêtre. C’est ce que j’ai pensé aussi au début, mais finalement je ne regrette pas le moins du monde. C’était un investissement qui en valait la peine.

Jusqu’à l’arrivée sur le port, je ne croyais toujours pas que l’excursion allait être celle promise sur le site internet. Comme je l’avais dit dans un autre article, le prix me paraissait bien trop bas pour les activités proposées : snorkeling avec des dauphins ET des tortues, plus un troisième arrêt pour voir pleins de poissons, ajouté à ça une collation avant le départ et un sandwich+une boisson+un café à notre retour, pour seulement $105 ? Pour moi c’était clair, y’avait anguille sous roche.

Et pourtant, lorsqu’on est arrivé, une table nous attendait en effet avec des boissons et des encas comme des chips. Et j’ai bel et bien eu ma caméra plus ma veste de plongée. Et le bateau était réel.

On est monté à bord et on a fait connaissance avec les 2 membres de l’équipe, dont je ne me souviens plus les noms. Tout ce que je sais, c’est qu’ils étaient très sympas, faisaient des blagues, et connaissaient leur métier. Par exemple, ils nous ont demandé de poser nos pieds nus à plat sur le sol, sont passés avec des palmes de différentes tailles, et nous distribuaient la bonne taille de palmes rien qu’en regardant nos pieds. Même chose pour le gilet de sauvetage et les masques de plongée. Ils ne se sont pas trompés une seule fois.

Une femme était également présente, dont le rôle était de prendre des photos tout le long de l’activité. Elle a commençait par faire un portrait de chacun, en tapant un peu la discut’, demandant d’où on venait, ect… Quand elle est arrivée à moi et que je lui ai dit que j’étais française, elle m’a dit « Ha bah on peut parler français alors ! ». On a du coup commencé une petite discussion, durant laquelle j’ai appris qu’elle était elle-même française (mais parlait avec un léger accent américain qu’elle a dû acquérir avec le temps sans s’en rendre compte). Du coup, j’ai eu le droit à quelques explications sur différentes choses de l’île, des astuces, des trucs comme ça. Elle était vraiment sympa.

Lorsqu’on est entré en mer, les membres de l’équipage (que j’appellerais maintenant mde) nous ont demandé de bien ouvrir les yeux à l’affut du moindre dauphin, voire même d’une baleine. Au bout de quelques minutes, nous avons fini par trouver nos amis Flipper, qui sont passés près du bateau et s’amusaient à sauter dans tous les sens. Mais les mde ont préféré nous emmener à Turtle Town avant de commencer le snorkeling avec les dauphins.

Turtle Town, comme son nom l’indique, c’est un endroit avec des tortues. En fait, comme l’a dit l’un des mde, c’est une station de nettoyage pour les tortues. Un endroit un peu plus profond que le reste, près d’une plage sur la côte ouest, où les tortues descendent afin de se faire nettoyer la carapace par d’autres poissons qui n’attendent que ça. Du coup, ils étaient sûrs de trouver des Carolines à cet endroit là. Et effectivement, ça n’a pas loupé ! Au moment où on approchait, une tortue a même refait surface afin de reprendre son souffle, sortant la tête de l’eau à tout juste 2 ou 3 mètres du bateau !

On a jeté l’ancre, puis les mde nous ont lâchés en pleine mer, avec un seul mot d’ordre : on ne touche pas les tortues. Et on évite les grands mouvements si possible, afin de ne pas les effrayer. Après, on est libre de faire ce qu’on veut.

C’était génial de voir les tortues d’aussi près, et dans leur milieu naturel ! D’accord, on n’a pas pu les toucher, mais elles étaient juste là, devant nous ! Une tortue a même refait surface au moment où j’étais juste à côté d’elle, s’approchant de plus en plus de moi. Malheureusement, j’avais pour obligation de m’éloigner de son chemin si une tortue remontait, du coup j’ai dû bouger un petit peu. Mais c’était quand même plutôt cool !

On est resté dans l’eau environ 25 minutes, durant lesquelles j’ai bombardé non-stop de photos et de quelques vidéos.

Après ça, il a fallu qu’on retrouve les dauphins. On a fait un premier essai à un endroit où on les avait vus quelques minutes avant, mais les dauphins ne sont pas venus. Une fois remontés dans le bateau, ils se sont rapprochés, puis sont repartis. Nous avons donc changé de position, et sommes retournés à l’eau. Cette fois-ci, le mot d’ordre était différent : interdiction de nager, il faut rester immobiles le plus possible si on veut que les dauphins approchent. Malheureusement, on les a vus faire des cabrioles un peu plus loin, mais ils ne nous ont pas approchés. Tant pis, on les aura quand même vu jouer de loin, et de toute manière même s’ils nous avaient approchés, on n’aurait pas pu les toucher, donc ça n’aurait pas changé grand-chose.

On est ensuite remontés sur le bateau afin de se rendre à notre dernière étape, Electric Beach. Ça tombe bien, j’avais prévu d’y aller après l’excursion, ignorant que ça serait une des étapes. Electric Beach se trouve juste à côté d’une usine électrique, d’où le nom. L’usine rejette je ne sais quoi dans l’eau, ce qui fait qu’elle y est plus chaude (mais aussi plus radioactive ^^), faisant ainsi de cette plage le paradis des poissons. En effet, des centaines de poissons sont là, à tournoyer autour des tuyaux sous-marins de l’usine. Ça fait assez bizarre, parce qu’ils passent tout près de nous, on est même souvent entourés de poissons peu farouches, c’est très sympa ! Alors, bien sûr, les poissons n’ont rien de tropicaux ou quoi que ce soit, et il ne doit pas y avoir plus de 6 espèces différentes, mais ça reste franchement cool. On est restés une petite demi-heure dans l’eau, puis il a fallu repartir, direction la Marina. Une fois là-bas, nous avons effectivement eu un sandwich, une boisson fraîche et un café/thé/chocolat chaud, plus le visionnage des photos prises dans la journée par la française. Les photos étaient sympas, c’est dommage que le CD ai coûté si cher ($40 !), sinon je l’aurais acheté.

Je suis allé rendre ma caméra à la supérette, où je pensais avoir à attendre quelques minutes pour avoir un CD avec mes photos. Mais en fait non, la supérette ne fait que louer les caméras, le « développement » se fait par quelqu’un d’autre, et le CD est à récupérer le lendemain à l’hôtel. J’explique au gars que malheureusement je ne suis pas à cet hôtel, et qu’il est trop loin de Waikiki pour que j’y revienne. Il me promet d’en parler au responsable. Le soir même, j’ai reçu un message du gars chargé de tout ça, qui me dit qu’il peut m’envoyer le CD chez moi sans frais. Je lui demande s’il peut l’envoyer plutôt à mon auberge, et il est assez gentil pour accepter. J’ai reçu le DVD 2 jours après à l’auberge, mais comme personne ne savait qui j’étais, il a fallu que j’aille réclamer, le jeudi aprem’.

La navette nous a ensuite ramené sur Waikiki, où tout le monde a dormi comme des bébés ^^ On dirait pas, mais rester aussi longtemps en pleine mer, c’est épuisant.

Une fois rentrée, j’ai pris une bonne douche, puis j’ai décidé de retenter le coup avec le Hula sur Kuhio Beach. Encore une fois, pas de bol, il n’a pas eu lieu. Mais cette fois-ci je suis restée plus longtemps que la veille, jusqu’à la nuit tombée, prenant des photos de la mer et de tout ce qui m’entourait. Je me suis éclatée avec les différentes vitesses d’obturation de mon appareil, qui m’ont permis de faire des photos que j’aime assez.

En rentrant, je me suis arrêtée pour assister un peu à un spectacle de rue de « L’homme Basketball ». Je suis cependant partie assez vite, exaspérée par la voix désagréable du gars (et je suis sûre qu’il se forçait). Je suis alors passée devant un marché nocturne que j’avais déjà vu à plusieurs reprises. Je me suis dit que je pourrais m’y arrêter pour voir s’il y avait des choses intéressantes à ramener en souvenir. Résultat des courses, j’en suis ressortie avec des souvenirs pour tout le monde, sauf ma sœur, Divna et Miroslav.

Je suis rentrée à l’auberge où j’ai probablement tenté de mettre à jour mon blog, en vain, comme vous avez pu le voir ^^

Quelques photos en vrac :

 

Et comme vous avez été sages, une petite vidéo en plus :

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Bon sang, ce compte rendu me prend bien plus de temps que prévu ! Entre les 12 millions de choses à dire et les 15 millions de photos à montrer, le compte rendu pour un seul jour me prend des heures ! Ceci dit, ne vous inquiétez pas, vous aurez la suite très vite. Le récit du mardi est presque fini, celui du mercredi est encore à faire, le jeudi et vendredi devraient être rapides puisqu’il ne s’est pas passé grand chose, et le samedi devrait être un peu plus long. J’essaye d’avancer le plus possible demain, promis. Et au fur et à mesure je met aussi au point une partie “conseils”, pour aider ceux qui iront à Hawaii plus tard. Cette partie contiendra des infos pratiques (horaires, durées de trajet) ainsi que les choses que je conseille vivement à Oahu, celles qui sont moins nécessaires, celles que je déconseille peut-être. A venir donc.


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